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terça-feira, 9 de outubro de 2012
Também é por isto que cada vez gosto mais da Lady Gaga
Londres, octubre 9 - La cantante estadounidense Lady Gaga, contrariando la posición de su país, y para sorpresa británica, visitó este lunes en la noche a Julian Assange en la embajada de Ecuador en Londres. La vocalista estuvo durante más de cinco horas en el recinto diplomático y cenó con Assange, quien se encuentra allí en calidad de asilado y a la espera de poder salir rumbo a Ecuador. Pese a que Ecuador le ha concedido el asilo político, el Gobierno británico se niega a otorgar un salvoconducto al fundador de WikiLeaks, portal responsable de la filtración de miles de cables diplomáticos que comprometieron a gobiernos de todo el mundo y perjudicaron especialmente a Estados Unidos. El pasado mes de agosto, Assange fue visto en público cuando hizo una declaración a la prensa desde una ventana de la embajada, ya que si sale del edificio diplomático sería inmediatamente arrestado. No se han conocido todavía las reacciones del gobierno británico ni del estadounidense ante esta inesperada visita a Assange. Lady Gaga se declaró admiradora del australiano. Esta nota ha sido leída aproximadamente 1436 veces. 13 45 Notas relacionadas Internacionales
terça-feira, 11 de setembro de 2012
Parece que a suecia se está a transformar num protectorado americano...
E um facto que têm um rei que descende de outro Napoleão lá lhes deixou...Serão daí os tiques totalitários?
quinta-feira, 5 de julho de 2012
quinta-feira, 28 de junho de 2012
terça-feira, 26 de junho de 2012
quinta-feira, 16 de dezembro de 2010
terça-feira, 14 de dezembro de 2010
The Braganza Mothers: Assange em liberdade condicionada e sob caução
The Braganza Mothers: Assange em liberdade condicionada e sob caução: "Julian Assange fotografado através dos vidros do carro da polícia que o levou hoje ao tribunal de Westminster. Neste blogue praticam-se a L..."
terça-feira, 7 de dezembro de 2010
sexta-feira, 3 de dezembro de 2010
Apesar das ameaças...
L'adresse suisse de WikiLeaks fonctionne à nouveau
03.12.2010 10:47 - mise à jour: 21:22WikiLeaks publie depuis dimanche des notes d'Etat américaines qui fâchent de nombreux Etats. [AFP]
Le site de révélation de documents secrets WikiLeaks dispose de trois nouvelles adresses internet néerlandaise, allemande et finlandaise. Cette annonce faite sur Twitter fait suite à celle, plus tôt vendredi, faisant part d'une nouvelle adresse en Suisse. En soirée, celle-ci a momentanément cessé de fonctionner.
"WikiLeaks maintenant disponible sur http://wikileaks.de/ http://wikileaks.fi/ http://wikileaks.nl/", était-il indiqué sur Twitter. L'adresse suisse, qui avait été activée dans la matinée (wikileaks.ch) n'était en revanche plus opérationnelle vendredi en début de soirée avant d'être réactivée plus tard dans la soirée.
Le propriétaire du nom de domaine "wikileaks.ch" est "le Parti des Pirates Suisses", qui dit défendre la légalisation du partage de fichiers sur Internet et la protection de la vie privée des internautes. On ignore pour l'heure les raisons pour lesquelles le lien suisse a été momentanément inactif.
En outre, la société française OVH, qui héberge sur ses serveurs une partie des contenus de WikiLeaks, a annoncé avoir saisi la justice pour savoir si elle doit de se conformer à une demande du gouvernement français de fermer le site.
Vendredi matin, le gouvernement français a indiqué qu'il étudiait les moyens d'interdire l'hébergement du site. "Cette situation n'est pas acceptable. La France ne peut héberger des sites internet qui violent ainsi le secret des relations diplomatiques et mettent en danger des personnes protégées par le secret diplomatique", a déclaré le ministre chargé de l'Economie numérique Eric Besson.
Pascal Gloor, vice-président du parti, a indiqué à tsr.ch que la formation possédait l'adresse wikileaks.ch depuis environ 6 mois et qu'elle était déjà accessible auparavant. L'idée d'acheter le nom de domaine suisse émanait d'un membre du parti et WikiLeaks avait été mis au courant. La fondation n'a en revanche pas averti le parti qu'il appellerait à utiliser cette adresse et le téléphone n'arrêtait pas de sonner vendredi matin.
Concernant une éventuelle fermeture du site en ".ch", Pascal Gloor avait estimé avant que le site ne soit plus actif, que si elle intervenait, ce serait le signe de "pressions diplomatiques" de la part des Etats-Unis. La Confédération pourrait invoquer la raison d'Etat, mais les révélations concernant la Suisse sont pour l'instant de peu d'importance, relevait le vice-président du Parti Pirate.
Le fondateur de WikiLeaks est considéré comme l'ennemi public no1 par plusieurs Etats. [Reuters]
Pascal Gloor ajoutait qu'il soutenait le désir de plus de transparence cher à WikiLeaks, s'étonnant de "l'agression" dont est victime son fondateur Julian Assange, alors que les journaux qui ont publié plusieurs révélations en primeur n'ont pas été inquiétés.
WikiLeaks, qui a entamé dimanche la publication de 250'000 notes de la diplomatie américaine, ce qui a suscité la colère de Washington et l'embarras de plusieurs gouvernements, avait rapporté ces derniers jours avoir été la cible d'attaques informatiques par déni de service (DDOS).
"Les menaces de mort à notre encontre sont de notoriété publique. Mais nous prenons les précautions adéquates dans la limite de ce que nous sommes capables de faire face à une super puissance", a expliqué Julian Assange.
tsrinfo avec les agences
Le propriétaire du nom de domaine "wikileaks.ch" est "le Parti des Pirates Suisses", qui dit défendre la légalisation du partage de fichiers sur Internet et la protection de la vie privée des internautes. On ignore pour l'heure les raisons pour lesquelles le lien suisse a été momentanément inactif.
Attaques informatiques
Dans la nuit de jeudi à vendredi, le précédent fournisseur de noms de domaines de WikiLeaks, EveryDNS.net, avait annoncé dans un communiqué avoir interrompu son service au site wikileaks.org après des attaques informatiques massives. La connexion au site avait ainsi été interrompue pendant 6 heures.En outre, la société française OVH, qui héberge sur ses serveurs une partie des contenus de WikiLeaks, a annoncé avoir saisi la justice pour savoir si elle doit de se conformer à une demande du gouvernement français de fermer le site.
Vendredi matin, le gouvernement français a indiqué qu'il étudiait les moyens d'interdire l'hébergement du site. "Cette situation n'est pas acceptable. La France ne peut héberger des sites internet qui violent ainsi le secret des relations diplomatiques et mettent en danger des personnes protégées par le secret diplomatique", a déclaré le ministre chargé de l'Economie numérique Eric Besson.
Inactif momentanément en Suisse
WikiLeaks a été actif durant quelques heures en Suisse vendredi. "WikiLeaks a déménagé en Suisse", avait annoncé dans la journée le groupe sur son fil Twitter. Le nom de domaine appartient au Parti Pirate Suisse avant de ne plus fonctionner puis de fonctionner à nouveauPascal Gloor, vice-président du parti, a indiqué à tsr.ch que la formation possédait l'adresse wikileaks.ch depuis environ 6 mois et qu'elle était déjà accessible auparavant. L'idée d'acheter le nom de domaine suisse émanait d'un membre du parti et WikiLeaks avait été mis au courant. La fondation n'a en revanche pas averti le parti qu'il appellerait à utiliser cette adresse et le téléphone n'arrêtait pas de sonner vendredi matin.
Concernant une éventuelle fermeture du site en ".ch", Pascal Gloor avait estimé avant que le site ne soit plus actif, que si elle intervenait, ce serait le signe de "pressions diplomatiques" de la part des Etats-Unis. La Confédération pourrait invoquer la raison d'Etat, mais les révélations concernant la Suisse sont pour l'instant de peu d'importance, relevait le vice-président du Parti Pirate.
Pascal Gloor ajoutait qu'il soutenait le désir de plus de transparence cher à WikiLeaks, s'étonnant de "l'agression" dont est victime son fondateur Julian Assange, alors que les journaux qui ont publié plusieurs révélations en primeur n'ont pas été inquiétés.
WikiLeaks, qui a entamé dimanche la publication de 250'000 notes de la diplomatie américaine, ce qui a suscité la colère de Washington et l'embarras de plusieurs gouvernements, avait rapporté ces derniers jours avoir été la cible d'attaques informatiques par déni de service (DDOS).
Julian Assange se dit menacé de mort
Par ailleurs, le fondateur du site Wikileaks, Julian Assange, a fait état vendredi de "menaces de mort" à son encontre qui ont conduit son équipe à prendre des mesures de sécurité renforcées, dans un forum en ligne sur le site du quotidien britannique Guardian."Les menaces de mort à notre encontre sont de notoriété publique. Mais nous prenons les précautions adéquates dans la limite de ce que nous sommes capables de faire face à une super puissance", a expliqué Julian Assange.
tsrinfo avec les agences
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